Articles avec #discoglosses tag

Publié le 31 Mars 2024

Rédigé par HODIE

Publié dans #Discoglosses, #Têtards, #La faune, #Ile du Levant

Publié le 18 Juin 2021

Avec Eva Tankovic et Vincent Rivière à la recherche des grenouilles rieuses.

Observé plus d'une douzaine de discoglosses à Cassiopée mais aucune grenouille rieuse ainsi que de nombreux têtards de discoglosse au puits de la zone de déchets.

 

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Rédigé par HODIE

Publié dans #La faune, #Discoglosses, #Ile du Levant

Publié le 4 Mai 2021

 Avec Eva, Vincent, Pierre-André et Fabrice

En période de reproduction, les mâles présentent des callosités brunes sur les doigts I et II, ainsi que des épines noires sur la mandibule, le ventre, les cuisses, les tibias et les pieds.

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Rédigé par HODIE

Publié dans #Discoglosses, #Ile du Levant, #La faune

Publié le 29 Avril 2021

Vallon de l'Ayguade - Ile du Levant

Vallon de l'Ayguade - Ile du Levant

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Le saviez-vous ?
Le discoglosse Sarde (Discoglossus sardus), existait à l’époque oligocène, bien avant la Préhistoire. Les modifications climatique et géologique, l’apparition d’amphibiens plus performants ont sensiblement restreint sa descendance et sa zone de répartition. Aujourd’hui classé parmi les espèces les plus rares d’Europe, le Discoglosse sarde survit dans quelques îles de la Méditerranée, la Corse et les îles d’Hyères les plus anciennement isolées du continent, Port Cros et l’Île du Levant…
Avec ses 5 cm de long, sa peau faiblement verruqueuse d’une couleur brune à mordorée marbrée de tâches irrégulières noire, le Discoglosse sarde n’est pas facile à repérer. Encore moins si, à son habitude, il s’enfouit sous des feuilles mortes ou se cache dans une cavité. Mais si vous parvenez à l’approcher et à discerner au dessus de son museau pointu légèrement proéminent et incurvé vers le bas, ses yeux aux iris dorés et aux pupilles en forme de cœur, nulle doute que vous aurez envie de l’embrasser pour voir quelle genre de prince charmant surgira de ce crapaud-là…
Son nom exprime la forme de sa langue (disco, disque - glosse, langue) avec laquelle il happe, la nuit de préférence, insectes, larves et vers près des mares et ruisseaux temporaires peu profonds.
Son activité terrestre est étroitement liée à la température et à l’hydrométrie. En dessous de 7°c et 45 % d’humidité, le discoglosse sarde reste aux abris, attendant des conditions plus clémentes. Et le mistral sec et froid lui ôte toute envie de chasser. Par contre, les premières pluies d’automne et de printemps qui ruissellent dans les vallons de la Solitude, de Notre-Dame ou de la Fausse Monnaie à Port-Cros et qui sont recueillis dans les vasques naturelles et les failles rocheuses déclenchent son accouplement.
Du fond de ces anfractuosités gorgées d’eau, le mâle émet alors un chant nocturne dont le son, proche d’un ronronnement, est presque inaudible. La femelle sensible à ce signal le rejoint et pondra ensuite 200 à 1500 œufs, expulsés au fond de l’eau par paquet de 20 à 50, mais dont 60% seulement sont fécondés. Au bout de trois jours des petits têtards frétillants en sortiront. Puis, à la faveur d’une immersion dans un point d’eau bien ensoleillé, après s’être nourris durant un mois de débris végétaux, les têtards transformés en Discoglosses sarde d’un centimètre rejoindront la terre ferme… Il atteindra sa taille adulte à 3 ans.
©
Emile Barbelette – Discoglosse sarde
Françoise Serre Collet (MNHN) - Têtards de discoglosse sarde
 

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Publié le 22 Avril 2020

  J - 19

Photo : Fred Héliotel 21 avril 2020

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Une bonne trentaine d'individus dans la petite partie de la piscine, avec plein d'oeufs

 

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Rédigé par HODIE

Publié dans #Ile du Levant, #La faune, #Discoglosses, #Confinement